Les Forces Navales Françaises Libres au Combat

Les Forces Navales Françaises Libres au Combat

Prix : 20.00€ TTC
Auteur Yves FOURNIER et Daniel PIERREJEAN
Deuxième Guerre Mondiale
Publication 15/06/2020 - PUBLIFRANCE
ISBN : 9782374550459   ref 950
324 pages - Format 148x210mm - N&B
La Marine de la France Libre, bien que de taille modeste, allait se révéler d’une grande efficacité aux côtés de la Royal Navy dans la terrible bataille de l’Atlantique. La corvette Aconit des Forces Navales Françaises Libres et son équipage s’y illustreront en coulant successivement deux submersibles ennemis en quelques heures... Le navire de la France Libre sera fait Compagnon de la Libération par le général de Gaulle. Quant à la marine marchande de la France Libre, ses navires paieront un lourd tribut à la victoire finale. De nombreux équipages ne verront pas la fin des hostilités...
A propos de l'auteur


Daniel PIERREJEAN L’auteur, spécialiste de la Seconde Guerre mondiale a publié plusieurs ouvrages sur ce conflit majeur dont L’envers du Jour J, Commandant René Mouchotte, destin d’un Français Libre ou même encore Pilotes français dans la bataille d’Angleterre.

Yves FOURNIER Engagé dans la Marine nationale à l’âge de 18 ans comme matelot. Affecté sur le croiseur Colbert, il sera présent lors du voyage officiel du général de Gaulle au Québec en juillet 1967. Il terminera sa carrière au grade de capitaine de corvette, spécialiste du Renseignement.Yves Fournier est actuellement délégué de la Fondation de la France Libre pour le département d’Indre-et-Loire.
A propos de l'éditeur

Evènements
Interview des auteurs Daniel Pierrejean et Yves Fournier.Article de Presse paru le 9 Juin dans la Nouvelle République du Centre
Les Forces Navales Françaises Libres au Combat
Du même auteur
Dans l'antre du  Diable... Tome 1 - L’action des Justes de Budapest 1944 - 1945 Dans l'antre du Diable... Tome 1 - L’action des Justes de Budapest 1944 - 1945 Dans l’une des salles d’interrogatoire de la prison de la Loubianka à Moscou, l’un des officiers du NKVD feuilletait soigneusement un passeport diplomatique à l’effigie de l’Etat suédois. C’était celui de Raoul Wallenberg. Il avait parcouru les quelques pages du document, puis s’était tourné de nouveau vers le diplomate suédois. - Quand exactement êtes-vous arrivé à Budapest ? - Le 9 juillet 1944, avait répondu très calmement le diplomate suédois. - Quelle était votre mission dans la capitale hongroise ? avait demandé l’officier du NKVD sur un ton glacial. - Il s’agissait de préserver les populations juives hongroises de la déportation et de l’extermination. - C’était une mission financée et commanditée par les Américains? avait surenchéri le Russe. - J’agissais au nom de mon gouvernement. Mes instructions venaient du ministère suédois des Affaires étrangères. Je n’ai rien de plus à ajouter! avait rétorqué Raoul. - Et vous ne receviez vraiment aucune instruction de Washington ? avait insisté l’officier du corps de la Sécurité d’Etat soviétique. - Strictement aucune. - Vous avez diffusé des milliers de passeports à des ressortissants hongrois, vous étiez sûr de leur légalité internationale ? L’officier du NKVD avait alors fouillé dans le tiroir du bureau et sorti plusieurs passeports de protection qu’il avait examiné avec une certaine attention. - Le but était de sauver le plus possible d’êtres humains, au-delà des aspects de la légalité internationale des passeports. Leur objet, je vous le répète, était de lutter contre l’extermination des Juifs par les nazis. - Nous vous connaissons Wallenberg. Vous appartenez à une famille de grands capitalistes. Vous êtes un espion, lui avait lancé l’un des Russes. - Je suis un diplomate de la légation de Suède à Budapest! avait répété le Suédois. - Vous êtes un espion! Avouez donc que vous avez mené une mission d’espionnage à la solde des Américains! avait répété l’officier russe. Raoul Wallenberg et son chauffeur Vilmos Langfelder disparurent à jamais. Plus tard, les autorités russes déclarèrent que le diplomate suédois était décédé d’une crise cardiaque en 1947... Préface de M. Per Anger ancien ambassadeur de Suède au Canada. 20.00€ TTC
La Kriegsmarine et la base sous marine de la Pallice La Kriegsmarine et la base sous marine de la Pallice Tout a mal commencé à Omaha Beach ce mardi 6 juin 1944 à l'aube. À 5h45, 32 chars Sherman Duplex Drive (DD) amphibies sont mis à l'eau trop loin de la plage. Rapidement, en raison d'une mer formée, vingt-sept chars sombrent avec leurs équipages. Les bombardements aériens et navals vont se solder également par des échecs cuisants. À cause du vent et des courants, les péniches de débarquement abordent trop à l'est, et en désordre. Les troupes d'assaut chargées de briser les défenses allemandes sont directement exposées au feu de l'ennemi. Aussitôt que les barges touchent la plage et que les GI's foulent le sol de France, une pluie d’obus et de balles de mitrailleuses s’abat sur eux. C'est un véritable désastre. La première vague d’assaut est en un instant décimée : dans les premières cinq minutes de l’assaut, près de 90% de ses effectifs sont mis hors de combat. La grande majorité des officiers et des sous-officiers sont blessés ou tués et les survivants s’organisent comme ils le peuvent par petits groupes. « Il n'y a plus que deux genres de soldats sur cette plage : ceux qui sont morts et ceux qui vont mourir, alors bougeons-nous de là ! » leur lance le colonel Taylor, commandant du 16e Régiment Combat Team de la Première division d'infanterie US (Big Red One). Et pourtant quelques dizaines, quelques centaines de GI's, des officiers héroïques, des Rangers et des commandants de destroyers de l'US Navy vont redresser une situation catastrophique. Alors que la nuit tombe sur Omaha, plus de 34.000 soldats américains foulent le sol normand sur Omaha mais on déplore plus de 3000 soldats US tués ou blessés... L'opération « Overlord » est malgré tout sauvée. La bataille de Normandie commence. Dans 49 jours Paris sera libéré... 20.00€ TTC
Les Forces Aériennes Françaises Libres Les Forces Aériennes Françaises Libres La naissance des Forces aériennes françaises libres (FAFL), s’était inscrite dans la logique de l’Appel du général de Gaulle du 18 Juin 1940. Dès le mois de juillet 1940, une poignée de volontaires, pilotes, navigants, mécaniciens au sol et des jeunes volontaires patriotes avaient rejoint la Grande-Bretagne pour composer les premiers effectifs des FAFL. Le général de Gaulle allait donc créer les Forces aériennes de la France Libre dès ce mois de juillet 1940. Il avait fallu un peu de temps pour s’organiser mais, lorsque le 10 juillet 1941, le général Valin avait été porté à la tête des FAFL, il avait fondé de grandes unités aériennes dont le parcours allait être exemplaire. Le 1er septembre 1941, le groupe de chasse « Ile-de-France » puis « Alsace » ainsi que le régiment de chasse « Normandie-Niémen » - qui, en avril 1943, combattra sur le front russe dans des conditions terribles et se couvrira de gloire, - virent le jour. Puis viendront les groupes de bombardement « Lorraine ». Suivront, « Bretagne », puis en février 1944 « Artois » et « Picardie ». Les FAFL allaient abattre plusieurs centaines d'avions ennemis. Et les pilotes français envoyèrent également par le fond 104 bateaux et détruisirent combien de véhicules, d’écluses et des convois ferroviaires. L'un de leurs plus célèbres pilotes du groupe de chasse « Alsace », fut Pierre Clostermann, un as de la chasse, devint premier chasseur de France avec 33 appareils ennemis abattus. 20.00€ TTC